FACEBOOK A DIT

Il était une fois "Forum Moov Madagascar". J'ai été très active dedans. Malgré quelques topics bidons et pas sérieux lancés (manifestement) par des modo (modérateurs!! ha ha) pour animer l'arène, il y a (avait) des trucs très intéressants et des gens très bien. Comme je ne suis pas du tout adepte de l'anonymat, une forme de lâcheté par excellence, j'ai toujours agi avec un pseudonyme authentifié, et un seul. Mais à partir du moment où l'on a commencé à exiger une authentification, j'ai arrêté. Je considère cette mesure comme une insulte à mon honnêteté. Je me prends pour qui? Pour moi.

Par la suite, les réseaux sociaux et professionnels en tous genres envahissent le pays. Après Viadeo, j'ai rejoint LinkedIn. Avec mon vrai nom et ma photo. Me sentant traquée par des individus pas vraiment bien intentionnés, des malades curieux, j'ai abandonné. Plus de mal que de profit!

Ensuite, un blog basique très simplissime. Deux notes et basta. J'ai trouvé Hautetfort plus adapté. Il faudrait que je crée au fur et à mesure des sauvegardes puisque là, victime de cyber-attack, mon Office est bousillé, en attente de sauvetage, si possible ...

Puis, Hi5 que j'ai très vite lâché au profit de Facebook, dès les premières heures. Réseau social dit-on. Quelques "amis" triés sur le volet, avec un grand ménage régulier. Je ne trouve pas d'intérêt avec une longue liste de followers. Que des indiscrets, la plupart du temps. Des copieurs et des pseudo-professionnels en quête d'idées. Je me lasse très vite avec des gens qui ne trouvent rien à dire, ou qui disent n'importe quoi. Je suis sur Facebook pour le fun, intelligemment drôle et spirituel. Pour la découverte. De philosophie singulière bien sûr. Mais je suis surtout là, pour seulement et uniquement me délester. De ce qui me fait sourire, rire, et hurler. Le délestage n'est pas l'apanage de la Jirama (compagnie Eau et Electricité de Madagascar).

Alors, no private data. Facebook n'est pas à mes yeux une agence de quoi que ce soit. Juste un truc commercial de distraction et c'est tout.

Monsieur Panurge, je suis une de tes agnelles!