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Monday, 11 December 2017

'LYDAY L'IDOLE

Au moment où vous lisez cet article, Jean-Philippe Léo SMET, alias Johnny HALLYDAY repose désormais à St Barthélemy, dans son cercueil blanc. Je n'ai jamais été fan. J'adore plutôt Jean-Jacques GOLDMAN, Joe DASSIN, Claude FRANÇOIS, Michel SARDOU et ABBA! Dans les cahiers de souvenirs, je mettais à la rubrique “chanteurs préférés” : Herbert LEONARD, Glenn MEDEIROS, Eros RAMAZZOTTI, Demis ROUSSOS, Elsa, .... et jamais Johnny.

Mais je rédige cette note pour servir de support au poème qui suit, composé à la demande d'un fan, alors qu'on était adolescents. A l'époque, mes camarades de classe “commandent” des textes versifiés avec leurs noms en acrostiche. Mais ce poème dédié à #Thierry_Michel_RAKOTOMAHAZO est une exception. De par sa forme, et son fond.
Il ne s’agit pas de véritable création, mais de vers butinés partout et agencés en patchwork. Chose curieuse, j’ai daté, ce que je fais très rarement, et le hasard a fait que cela tombe un 4 décembre ! Johnny est décédé le 6 décembre 2017.

Excusez le balbutiement, excusez la gaucherie, excusez les fautes et erreurs. Je transcris tel quel, en hommage à l'amitié, cette relation que je considère comme la plus importante de toutes. Je profite de cet adieu à Johnny pour vous présenter ce que j’ai déterré de l’oubli ...
 
Qui de nous et de notre jeunesse
Ne sait par cœur tes chants,
Qui n’a lu mille fois et ne relit sans cesse
Les paroles de tes chansons ?
« J’en ai assez d’entendre à la radio
Les mêmes sons et les mêmes tons,
Il faudrait que la musique soit folle
Tout comme au bon vieux temps du rock and roll ».
J’aime cette chanson puisqu’elle est ton ouvrage
J’irai, j’irai partout te rendre un même hommage
Et où que je sois, j’entends toujours ta voix,
Jusqu’au bord du Néant, je dirai « gloire à toi ».
« Et quand tu cries son nom en oubliant le mien
Je sombre au fond de mon chagrin »,
Si jamais ta guitare amollie par tes pleurs
Soupirait sous tes doigts l’hymne de tes douleurs
Et prenant davantage un lumineux essor,
Parmi les chœurs sacrés tu chanteras encore.
« J’ai pleuré sur ma guitare
En chantant notre histoire … »
« Moi j(aime la musique quand elle roule les épaules
Tout comme au bon vieux temps du rock and roll »
« Je l’entends déjà battre avec mon cœur,
Toujours elle sera mon porte-bonheur »
J’écris ton nom sur les murs de la ville,
Je le murmure dans la nuit tranquille
Ce n’est plus étonnant que le matin,
Tout transistor ne chante que ce refrain :
« Oh oui, c’est le jour J, et c’est l’heure H
Et je vivrai pour qu’on le sache,
Oh mon jour J et mon heure H
J…H, J…H, J H »

00:00 Posted by Rondro H RAKOTOBE | Tags: johnny hallyday, thierry rakotomahazo | Comments (0) |  Facebook | | | |